Bonnie Sanders

Présentation

 

 

Prèz' de Bonnie Mon perso : Nom : Sanders Prénom : Bonnie Âge : 16 ans Ville D'origine : Chicago Sexe : Féminin Classe/Métier : 1ère Option choisie : Musique Moi, derrière l'écran : Ton nom ou surnom (si tu veux) : Devine, ça commence par un L et se termine par un A, et ce n'est pas Léa Ton âge (si tu veux) ? 17 Comment es-tu arrivé sur le forum ? Par le biais d'un partenariat avec un forum rpg dont je suis membre Qu'est-ce que tu en penses ? Paaaaaas maaaaaaaal ! J'aime beaucoup le contexte, ça paraît réaliste! Tu es un double-compte ? Nup Le code du règlement ?  : Star de l'avatar ? Hannah Murray Présence sur 7 jours? Pendant les vacances presque 7 jours/7 mais pendant les cours surtout le weekend,  même si je viens en semaine dès que je peux Le physique de mon perso : Bonnie est une petite blonde d'1m50 tout au plus, pour quelques 40 kilos tout mouillés. Elle est un peu trop maigre, et ça se ressent sur ses formes. Elles sont très peu marquée, et essaye de les masquer au maximum, dans des vêtements trop amples et sombres quand elle ne porte pas l'uniforme. Mais malgré son poids si peu conséquent, elle a toujours eu un visage rond, très juvénile, avec des lèvres très pulpeuses. Ses main sont proportionnelles a sa tailles, petites, très fines. Et ses ongles quasi inexistants, elle a toujours ses doigts a sa bouche, se rongeant les ongles jusqu'au sang, lubie qu'elle n'arrive pas a arrêter. Ses dents sont légèrement en avant. Pour elle c'est la cerise sur le gateau, elle se trouve ridicule avec ses dents a la bugs bunny. Ses cheveux sont très rebels, toujours emmêlés. Elle se bat chaque matin pour essayer les les ordonner, sans succès. Elle n'ose pas se maquiller, même si elle aimerait beaucoup, rien que pour mettre en valeur ses yeux bruns, qu'elle trouve beaucoup trop ternes. Elle est très complexée sur son physique.

 

Mon caractère  :

La jeune fille est très timide, et peu sûre d'elle. A cause de son passé, sa nature de petite fille innocente, joyeuse et souriante est écrasée par le stress et la méfiance. Elle se ronge les ongles souvent jusqu'au sang, se mord les lèvres, et est bourée de tics nerveux plus gênants les uns que les autres. Elle est toujours tendue, et ses muscles en souffrent. Souvent, elle a de fortes douleurs dans le dos. Elle est très maladroite, et si les gens se souviennent d'elle, ce n'est pas par son côté sociable ou même par sa discussion, mais par ses gaffes, a son plus grand malheur. Elle n'est pas patiente, bien au contraire.
Sa langue maternelle est avant tout l'anglais, mais elle parle assez bien le français, et le comprend presque parfaitement.
Avant, c'était une gamine pleine d'humour, diplomate, hyperactive, et avec toujours sur ses lèvres un sourire adorable. Maintenant, c'est une pâle copie de son caractère d'avant, qu'elle cherche a retrouver.
 

Mon histoire :

Bonnie n'a pas eu une enfance facile, elle a vécu dans une cité HLM insalubre avec son père, sa mère, et sa grande soeur. Son père était un homme violent qui battait ses filles, et la plus jeune par prédilection. Sa mère était une femme soumise, qui observait son mari frapper ses enfants en silence, pleurant dans l'encadrement de la porte. Elle ne pouvait pas sortir la journée, car aucun endroit n'acceptait les jeunes, ni rester chez elle, a cause de son père, et le soir elle devait rentrer pour ne pas risquer la colère du paternel.
Quand elle rentra a l'école, elle se fit des amis, des amis qui, très tôt, avaient déjà des soucis de drogue. Et elle, pour s’intégrer, les as suivit. C'est ainsi qu'a 12 ans elle fuma son premier joint, et de groupes en groupes, de mauvaises fréquentations en mauvaises fréquentations, elle prit son premier shoot d'héroïne. Et c'est la que tout se dégrada. Car jusqu’à présent, elle s'amusait comme jamais, elle se sentait bien avec ses amis, et ce premier shoot la combla. Mais ce fut une apogée de courte durée. A l'aube de ses 13 ans, elle était dans l'appartement d'un de ses amis, junkie de longue date. Elle se prépara un shoot beaucoup trop important, et en tomba dans les pommes. Quand elle se réveilla, elle était encore loin pour de nombreuses heures. C'est comme ça qu'elle ne sentit pas son ami abuser d'elle.
9 mois plus tard, elle se sentit mal, alla a l'hôpital. Et une petite fille naquit. Bonnie ne comprenait pas, et c'est quelques heures après la naissance de la petite qu'on la lui retira qu'elle rencontra pour la première fois les services sociaux. Heureusement elle n'avait plus rien dans le sang, et malgré elle, ce fut aussi son premier sevrage. Ce fut difficile, mais elle y arriva. Elle se crut sauvée, et l'assistante sociale lui permit de retourner chez elle, mais elle resombra, n'arrivant pas a oublier cet enfant mystère dont elle ne se souvenait plus la conception.
Ce schéma des sevrages, suivit de rechutes, se répèta pendant presque deux ans.
Elle fit toutes les écoles publiques qu'elle pouvait essayer, mais après deux, ou trois semaines d'efforts elle séchait de plus en plus souvent pour ne plus venir du tout. A la fin, aucune écoles publiques ni privée ne l'acceptait. Sa mère fit une dépression, puis se repris en main, ainsi que sa fille. Elle lui fit faire une cure, une vraie cette fois, que la jeune fille accomplit non sans mal. Quand cette cure fut achevée, la mère de Bonnie la présenta a d'autres écoles, toute fière de sa fille qui avait réussit a vaincre la drogue, mais les directeurs lui expliquaient a chaque fois -si ce n'était pas en lui riant au nez dans le pire des cas- qu'ils ne pouvaient pas accepter une toxico, même si elle en avait finit avec son vice. C'est alors que, au milieu de sa seconde dépression, la mère de Bonnie entendit parler d'un pensionnaire en France, en Bretagne plus précisément. Ce fut en désespoir de cause qu'elle fit ses adieux a sa fille qui s'envola vers Brest pour essayer de commencer une nouvelle vie.