Une petite élève (RP avec Calliopée Poulain et Aléana Brooks)

C'était le matin, la récréation avant d'attaquer de nouveau cour, tout aussi ennuyant au yeux de Calliopée, elle sortait de science et elle avait bien crut qu'elle allait mourir d'ennui, heureusement Perséphone et elle avaient été cote à cote et elles avaient passer l'heure a écrire des inepties sur leur cahier respectifs, sur le cahier de Callie il n'y avait pas une seule ligne de cour et elle savait que le contrôle allais s'avérer être un désastre mais elle s'en moquait, du moins pour le moment, trop occupée a regarder Perséphone sautiller sur place.

Calliopée sourit à sa jumelle avant de plonger la main dans son sac, à la recherche de son fameux cahier de biologie, elle voulait relire ce que sa sœur avait raconté car une phrase l'avait intrigué, elle avait gardé la question pour elle mais maintenant elle voulais comprendre. Elle se mit a fouiller plus intensément son sac, nulle trace du fameux cahier, mais mince ça ne disparaît pas comme ça. Callie commence à s'énerver, la patience n'est pas la chose qui la définit le mieux, elle finit par verser le contenu du sac au sol, pas de cahier, elle pousse un long soupir.

Elle se relève, fait un petit signe à sa moitié avant de lui dire qu'elle n'en a pas pour longtemps, elle vas vers le bâtiment et pousse la porte, guillerette, pour une fois ce n'est pas pour aller en cour et elle à une bonne raison de traîner dans les couloirs, à ses yeux en tout cas. Elle se dirige vers le laboratoire de science là où elle à hypothétiquement abandonné son cahier, elle n'est pas nerveuse, quoi qu'elle est écrit si la prof tombe dessus elle ne pourras pas comprendre puisque les jumelles on utilisé leur langues, comme tout le temps.

Elle frappe à la porte et attend l'ordre, d'habitude elle rentre en coup de vent, c'est une amélioration de sa part et au fond elle n'aime pas du tout ça. Elle regarde la prof assise aux bureau, penché sur des copie, elle ne peut s’empêcher de grimacer, ce que ce métier doit être ennuyant, elle ne veut pas faire ça, pour rien au monde, elle ne seras pas prof. Elle prend une grande inspiration avant de se rapprocher un peu plus du bureau :
- « Euh je croit que j'ai laissé mon cahier à ma place après le cour, vous ne l'auriez pas vu ? »
Calli pousse le vice en faisant un petit sourire, le cahier elle s'en moque, les mots de sa sœur en revanche.

Callie regarde la prof la dévisager avant de poser son crayon rouge. La petite remarqua immédiatement que la jeune femme ne semblait pas ravie alors elle se douta de la suite des événement, les adultes étaient si prévisible, toujours les mêmes, son sourire disparut alors, elle se remit en mode Poulain, mine boudeuse et bras croisé. La prof de biologie lu dit qu'elle avait bien le fameux cahier, qu'elle l'avait ouvert et qu'elle n'y avait pas vu cour, raison pour laquelle Callie allait avoir la joie de recopier ce fameux cour et ce vingt cinq fois d'affilé, tout comme Persé.

Un tas de sentiments envahirent l'esprit de Calliopée d'abord de la rage, plus envers elle même qu'autre chose, car si elle n'avait pas oublié son cahier, elle s'en serait tiré. Mais aussi de l'indignation, devant cette prof qui regarde dans les affaires personnelle de ses élèves, la vie privé n'existe donc pas dans cet établissement, comment peut on parler de respect alors qu'il n'y en a pas de l'autre coté, pourquoi les adultes auraient ils des droits supérieur à ceux des enfants ? Et puis le dernier sentiment qui lui vient c'est la culpabilité envers Perséphone car elle aussi écopait de la punition.

Elle soupire et fusille la prof du regard, devient toute rouge, Persé, oh nan pas touche à sa sœur, elle ne supporte pas de la voir punie surtout à cause de son inattention. Elle regarde la prof avant de quasiment lui arracher le fameux cahier des mains, elle n'avait aucun droit de voir ça, heureusement qu'elle n'a pas put comprendre, c'était trop intime. Elle finit par répondre à la prof :
- « Vous n'aviez pas le droit ! C'est mes affaires ! Et puis vous ne comprenez rien ! C'est peut être le cour, vous ne pouvez pas savoir ! »
Elle sert un peu les poings avant de s'attaquer au point qui la fâche le plus :
- « Vous ne pouvez pas punir Perséphone, c'est mon cahier, pas le sien, j'en ai marre, vous nous séparé quand ça vous arrange mais pour punir c'est toujours nous deux ! »

Elle fulmine, tremble, la rage s’empare d'elle lui donnant une envie de courir, de crier, son hyperactivité prend le dessus et elle ne réfléchit plus vraiment. Elle broie littéralement son cahier contre elle, elle est à deux doigt de se mettre à crier, ses yeux s'emplissent de rage et les larmes ne sont pas loin. Elle fixe la prof avec la profonde envie de lui sauter dessus, Callie ne supporte plus les membres de cette établissement, encore moins quand on s'en prend a Persé.