Calliopée Poulain

 

Présentation

 

   

   

Prèz' de Calliopée  Mon perso :  Nom : Poulain  Prénom : Calliopée  Âge : 11 ans  Sexe : Fille  Classe/Métier : Sixième  Option choisie : Théâtre  Signe Particulier : A une sœur jumelle, complètement identique  Moi, derrière l'écran :  Ton nom ou surnom (si tu veux) : Sio  Ton âge (si tu veux) ? 19  Comment as-tu trouvé le forum ? Top site  Qu'est-ce que tu en penses ? Il me parait prometteur  Tu es un double-compte ? Nan  Le code du règlement ?  : Ok validé!  Star de l'avatar ? Mackenzie Foy  Présence sur 7 jours? ça dépend d'où je suis et des caprices d'internet, mais en général, 5/7   Le physique de mon perso : Quand on regarde Calliopée on la prend pour une gamine, on à du mal à se dire qu'elle est âgé de dix ans déjà, ses grands yeux viennent s’ajoute à cet aspect général enfantin, lui conférant indiscutablement un effet angélique qui lui serre parfois. Plutôt petite pour son age donc, elle est aussi toute fine, si fine qu'on à presque l'impression qu'elle pourrait se briser à la moindre chute. Elle semble encore plus fragile à cause de son teint pale qui donne l'impression qu'elle est malade, tant et si bien qu'on lui demande souvent si elle vas bien.

   

Mon caractère  :

 Le physique mignon de Calliopée est une publicité mensongère comme on pourrait le dire. Calliopée tout comme sa jumelle d’ailleurs, est hyperactive, elle ne tient pas en place et elle ne supporte pas de rester planté sur une chaise des heures durant, pleine d'énergie elle a toujours des tas d'idée quand il s'agit de trouver une bêtise à faire. Des deux jumelles c'est elle qui mène le jeu et à vrai dire Perséphone serait plus calme sans Calli.
Calliopée est du genre à réagir au quart de tour, elle n’hésite pas longtemps avant de s'en prendre physiquement à une personne qui l'énerve. Elle aime le conflit et cherche en permanence à se confronter aux adultes testant les limites et s'amusant à les franchir dès qu'elle le peut. Elle est plutôt intelligente et ces résultats pourrait remonter si elle y mettait du sien, effort qu'elle ne semble pour l'instant pas  vouloir faire.
La chose la plus importante à ses yeux, c'est sa sœur Perséphone, celle ci est un poil plus sage mais suis aveuglement Calli dans toute ses galères. Elles ne supportent pas d'être séparées et la seule fois où l'expérience à été tenté Calliopée à finit hospitalisé car elle a refusé de s'alimenter durant toute la période de séparation.
   

Mon histoire :

Maternité d'Angers, 6 h 38, le 3 mai 2003 :

Assis sur une chaise, Monsieur Poulain attendait, nerveux, cela fessait près de deux heures que les médecins avaient emmené sa femme, juste après qu'ils soient arrivée paniqués à la maternité alors que la jeune femme se plaignait d'avoir mal au ventre. Il était inquiet, bons nombres de personnes lui avaient répétés les risques d'une grossesse multiple surtout vis-à-vis du physique d'Élisabeth, elle était bien trop frêle pour supporter deux enfants dans son ventre. Il fixait la porte, sa jambe tremblait et il se mordait si fermement la lèvre qu'il sentait le sang couler sur son palet.
Un médecin arrive, la tête d'Alexandre se lève, ses yeux sont emplis d'espoir, de peur aussi. Le médecin lui sourit, le jeune homme se détend un peu, il ne sourirait pas de la sorte si ça s'était mal passé. L'accoucheur lui pose une main sur l'épaule :
- « Félicitations ! Vous êtes le père de deux magnifiques petites filles ! Cependant, nous avons dû faire une césarienne et endormir votre femme, elle ne devrait pas tarder à se réveiller, en attendant vous pouvez aller voir vos filles. »

Cabinet médical, LesPonts de Cés, 15 h 02, le 17 mai 2008 :

Le médecin regardait du coin de l'oeil les deux fillettes qui jouaient à l'opposé de son bureau, elles chuchotaient des mots incompréhensibles. Le regard du spécialiste revint sur les deux parents, ils étaient inquiets, ça se lisait dans leur regard, ils ne comprenaient pas totalement leurs enfants, ce lien qui les unissait, si fort, si exclusif. Les deux petites éclatèrent de rires fessant sursauter les adultes, les enfants ne cherchaient pas à comprendre ce qui se passait, c'était le monde extérieur. La pédopsychiatre regarda une nouvelle fois les petites avant de reporter son attention sur le jeune couple.
- « Vos filles sont en pleine forme, cependant j'ai remarqué chez elles un léger problème d'hyperactivité rien de bien grave, généralement cette forme d'hyperactivité passe avec l'âge ! »
Comme pour illustrer les paroles du médecin les petites se mirent à courir en riant. Les parents soupirent, Élisabeth finit par demander en balbutiant :
- « Et pour ce qui est de leur complicité ? »
Nouveau soupir :
- « Ne vous inquiéter pas, c'est habituel dans les cas de gémellité, elles sont fusionnelles, elles se comprennent, se complètent, elles sont bien à deux elles ne voient pas l'intérêt de se mêler à d'autre, avec leur entrée à l'école ça risque de changer. »
Les petites poussent de nouveaux cris et se prennent dans leur bras, les parents sourient, dans tous les cas ils seront là pour leurs filles.

Salon des Poulain, Saint-Gemmes-sur-Loire, 13 h 56, le 6 janvier 2009 :

Le salon grouille de gens, les jumelles elles sont assises sur un canapé, blottie l'une contre l'autre, ce qu'elles veulent ? Leurs parents et que tous ces gens, inconnus pour la plupart. Les adultes les regardent d'un air étrange, certain murmure, pauvres petites. On leur demande d'aller dans leur chambre, les petites font mines de s'exécuter, mais elles font bien vite demi tour et vont se plaquer contre la porte. Elles écoutent la conversation et malgré leur jeune âge elles comprennent, il est question de savoir qui va s'occuper d'elle à présent, il leur paraît clair que personne ne veut d'elles à cause de leur maladie, à cause de ce lien. Perséphone commence à pleurer, Calliopée la prend dans ses bras, lui murmurant que tout va bien. Elle soupire, de toute façon, elles n'ont besoin de personne.

Bureau de l'assistance social, Angers, 15 h 38, 27 août 2014 :

les deux enfants sont assises devant le bureau, attendant leur éducatrice, elles savent très bien ce qui va se passer, elles vont avoir droit au petit discourt habituel et puis l'éducatrice se désespéra sur le fait qu'elle ne trouvera jamais un établissement prêt à les accepter pour cette nouvelle rentrée, ni une nouvelle famille d'accueil. Elles s'en moquent, discutent de tout ce qu'elles ont fait durant le mois, l'idée de les envoyer en colo était l'idée du siècle, pour elles du moins, elles en ont profité pour repousser les limites une fois, de plus. Elles se moquent de savoir où cette nouvelle rentrée vas les mener, elles savent qu'elles resteront peu de temps dans cet établissement, elles n'ont besoin de personne, pas depuis que leur famille les à rejetés, gamine énervé elles font tout pour le montrer et plutôt que de suivre sagement ce qu'on leur dit elles veulent vivre selon leur propre choix. La jeune femme qu'elles attendent n'arrive toujours pas, elles soupirent et finissent par décider de s'occuper et se mettent à se dessiner sur les bras. La porte s'ouvre enfin, l'éducatrice leur lance un regard désespéré. Les fillettes lui sourient d'un air innocent. La jeune femme soupire avant de leur annoncer qu'elle a trouvée un établissement prêt à les accueillir, les jeunes filles la regardent impassible, quel que soit cet établissement elles arriveront bien à se faire exclure comme d'habitude.