Un pensionat des années 50 de nos jours.
 
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Groupe Eleonore Adrian

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Bienséance
Reine des bonnes manière
Bienséance
Bienséance
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Reine des bonnes manière
Jeu 13 Aoû - 23:54
Groupe Eleonore Adrian Maison10





Aujourd'hui est une belle journée les vacanciers vont pouvoir profiter du parc d'attraction Disneyland. Au programme grand huit, chaise volante, attractions à eau et pur finir la maison hantée.


Vous entrez dans la maison hantée un petit train roule tranquillement autour des fantômes loup garou et monstres. Mais tout à coup le train s'arrête et le noir envahi la pièce, et on comprend vite que ce n'est pas prévu au programme. La lumière revient peu a peu mais ce n'est pas celle du soleil. Quand vous regardez autour de vous vous voyez que tout a disparu le train, les rails, les monstres et même les autres participant vous n'êtes plus qu'à 2 vous avancez un peu et vous comprenez vite ce qu'y vous arrive.

Vous êtes dans un labyrinthe vous allez devoir retrouver votre chemin et vous serez bien sur guidez par votre ami le dé!


Explications:


Vous êtes dans un labyrinthe a chaque carrefour vous devrez prendre une direction et à savoir si c'est la bonne c'est le dé qu'il choisit.

1er carrefour vous décidez de prendre à gauche

2 chiffres c'est la bonne direction vous continuez
2 chiffres c'est la mauvaise direction vous tombez sur un cul de sac demi tour
1 chiffre c'est un raccourci vous avancez plus vite
1 chiffre c'est la mauvaise direction mais pas de cul de sac

Vous tomber sur un carrefour tout les 3 RPs (donc il faudra alterner la personne qui lance le dé. Si vous tomber sur un raccourci vous pouvez lancer le dé au tour suivant, si vous tomber sur la mauvaise direction sans cul de sac il faudra attendre 3 RP de plus avant de relancer le dé) bonne chance à vous.
Bienséance
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Adrian S. Williams
Elève
Adrian S. Williams
Adrian S. Williams
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Elève
Dim 16 Aoû - 22:00
Ah ça, Adrian allait se souvenir de cette vacherie de la part de son cher père. Déjà l'inscrire dans un pensionnat à la rentrée était plutôt pas mal dans la catégorie "Coup-bas à faire pour achever son fils" mais voila que son géniteur eut la merveilleuse idée, selon lui, de l'inscrire au voyage organisé par son futur pensionnat.  Bien sûr, c'était le directeur qui avait proposé l'idée tandis que le père avait sauté sur l'occasion pour se débarrasser de son fils pour un petit moment lors des vacances. Mais Adrian ne voulait pas, mais alors là, absolument pas passer ses vacances avec ses futurs camarades aux Etats-Unis. Ce voyage allait gâcher les rares journées qu'Adrian pouvaient passer entièrement avec son cher grand frère.Mais le comble de tout ça, c'est que Mathieu avait osé affirmer que c'était une bonne idée et avait donc poussé son petit frère à faire ce voyage auquel il n'avait aucunement envie d'y participer.

Mais il y avait quand même une part de lumière dans ce tableau. Certes, il devait faire un voyage dont il n'avait aucune envie, certes, il allait devoir se coltiner des personnes qu'il ne connaît pas du tout. Parce qu'un voyage entre amis, c'est plutôt cool normalement. Bon, Adrian n'en avait jamais fait, puisqu'il n'a jamais eut de véritables amis. Enfin bref, arrivé sur place, il apprit donc qu'il allait devoir faire un duo avec une fille de l'établissement. Le soir même, il ne connaissait toujours pas l'identité de cette fille mais il eut la surprise de croiser son ancienne ennemie dans le couloir. Ce fut une immense surprise pour Adrian. Elle avait changé mais son visage était resté à peu près le même bien que ses traits étaient devenus plus adultes. Il ne l'avait pas revu depuis le CM2 et ça faisait un choc de la revoir comme ça d'un coup sans prévenir. Mais l'adolescent n'avait pas pu l'aborder, il devait se rendre rapidement dans sa chambre d'hôtel. Par malchance ou chance selon le point de vue, les deux ennemies étaient ensemble pour les attractions. Malchance car ils se haïssaient mais chance car l'un connaissait que l'autre dans le groupe d'élèves faisant part au voyage.

Ce fut donc de cette manière que les deux ennemies se sont retrouvés à Disneyland en train de faire la maison hantée. Adrian n'avait pas laissé le choix à la jeune fille, il était directement monté et elle l'avait suivit. Quand ils furent à bord, le trajet commença, Adrian n'avait aucunement peur, il se contentait de regarder les mannequins parfois bien réalisés ainsi que les décors et d'écouter la musique pesante qui régnait en maître au milieu des cris et des pleurs.

"Pas trop les jetons, Whitby?"

Soudain, tout s'arrêta, manège, mannequins et musique. L'adolescent grimaça quand son corps cogna durement contre le devant de son siège. Adrian, intrigué par la situation décida de se lever malgré les interdictions de début de l'attraction et essaya de comprendre ce qu'il se passait. Soudain, la lumière revient mais quelque chose d'étrange venait de se passer. Il n'y avait plus rien, plus de monstres, de rails ni de train. Il n'y avait plus personnes non plus, juste Adrian et Eleonore. Le jeune adolescent poussa un gros soupir et se tourna vers elle.

"Bon... On devrait sortir de là non? On a pas que ça à faire de jouer avec ceux qui ont coupé le courant pour nous foutre les jetons. Allez viens!"
Adrian S. Williams
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Eleonore P. Whitby
Elève
Eleonore P. Whitby
Eleonore P. Whitby
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Elève
Ven 28 Aoû - 18:56

Actuellement, Eleonore avait des envies de meurtres. Contre qui ? Environ la terre entière et les planètes d'à côté pour aller avec. Histoire de fignoler le tableau quoi. Elle en voulait énormément à plusieurs personnes. A commencer par ses très chers géniteurs qu'elle aurait balancé dans une mare infestée de requins avec un plaisir non-feint. Pour continuer, elle aurait balancé dans la dite-mare le directeur pour avoir proposer cette idée complétement stupide à sa famille. Et enfin, histoire de faire bonne mesure, elle aurait aussi balancé celui qu'il l'avait placé avec son ennemi d'enfance pour les attractions de ce séjour. Et puis si l'ennemi d'enfance en question continuait à l'emmerder, elle l'aurait volontiers balancé aussi. Toujours histoire de faire bonne mesure bien sûr.

Et c'est là que vous vous demandez sûrement "Mais pourquoi tant de haine et de violence ?". Alors déjà je vous dirais que, si vous trouvez qu'il est anormal qu'à certains moments, on en veuille contre la terre entière, arrêtez les pétards. Et si vous n'êtes pas drogué, je vous dirais alors de ne pas sortir de votre monde de bisounours. La chute vous ferez trop mal. Vous remarquez comme je suis gentille ? J'ai très à cœur le bien-être de mon public. Maintenant, si vous voulez bien, nous allons fermer cette parenthèse et nous recentrer sur Eleonore.

Donc nous disions... Ah oui ! Vous me demandiez pourquoi elle en voulait tellement à toutes les personnes cités au dessus (d'accord c'était pas exactement ça votre question mais je traduis, ça va plus vite). Commençons par ce très cher directeur... Déjà, d'où il venait se mêler de ce qui le regarder pas ?! Hein ? D’OÙ !? Si il n'avait pas proposé cette idée stupide à ses bourges de parents, elle serait encore en train de boire, fumer et déconner tranquille en compagnie d'Elliot et Maxime tout en tentant d'oublier le drame qu'ils avaient vécut. Ensuite, elle haïssait ses géniteurs pour avoir accepter tout ça pour pouvoir enfin dire à leur monde d'hypocrites qu'elle commençait de grandes études (alors que soyons honnêtes, elle ne comptait pas étudier du tout). Après, elle haïssait celui qui avait décidé que ce serait une super hyper méga bonne idée de coller deux personnes qui ne pouvaient pas rester dans la même pièce sans s'insulter ou se sauter dessus (pas pour ça bande de pervers ! Mais plutôt pour s'entretuer joyeusement façon Hunger Games) dans le même groupe pour toute une journée. Et puis elle haïssait Williams aussi pour des raisons évidentes d'ailleurs.

Lorsqu'il lui demanda si elle n'avait pas trop les jetons, elle l'ignora, réprimant avec peine l'envie de lui coller une jolie claque dans sa face de poireau désséché avec le doigt très malpoli qui va bien, pour aller avec. Lorsqu'elle avait croiser cet imbécile dans les couloirs de l'hôtel, elle avait tout d'abord totalement réfuté ce fait. Son cerveau avait tout simplement refusé d'admettre que c'était bien Adrian Shawn Williams, son ennemi depuis quasiment toujours. D'ailleurs lorsqu'il avait réfuté cette hypothèse totalement grotesque, il avait sûrement ajouter à l'intention d'Eleonore "Si tu commences à croiser des mecs qui nous font chier depuis l'enfance et dont on avait réussi à se débarrasser, moi je démissionne ! J'en ai marre de m'occuper d'une asociale handicapé des sentiments et totalement folle par dessus le marché ! J'me casse ! Malibu et les nanas à moitié nues m'attendent ! Tchüss la timbrée !". Après il avait sûrement dû se rappeler que c'était pas facile de se barrer sans pieds et quand on est enfermé dans une boite crânienne. Ce qui expliquait sûrement que la brune soit toujours en vie. Bah oui c'était quand même difficile de vivre sans un cerveau, aussi con et obsédé soit-il.

Soudain, une secousse qui la projeta contre le devant de son siège la fit douloureusement revenir à la réalité. Elle grimaça un peu et se redressa légèrement, se préparant à descendre. Le fait qu'elle n'entende plus rien et que les lumières se soit éteintes était étranges, suffisamment pour faire réagir Eleonore. Mais avant qu'elle n'ait pu amorcer un mouvement, les lumières se rallumèrent. Eleonore fronça les sourcils devant la situation. Plus de train, plus de rails, plus de monstres, plus de sales gosses pour te péter les tympans... Bon OK ça c'était une vraie amélioration. Par contre il y avait toujours un Adrian pour te faire chier. Moins cool déjà. La jeune fille leva la tête. Ils étaient dans un labyrinthe pas à ciel ouvert avec des parois, malheureusement, bien trop raides et sans prises pour être escaladés. Elle soupira et répondit au jeune homme :

"-Ok on y va. Mais quelque soit la personne qui a coupé le courant, je sens qu'elle va me péter les ovaires par avance."

Eleonore leva de nouveau la tête vers le plafond. Elle soupira. C'était dommage. Un peu plus et on se serait cru dans "The Maze Runners". Il aurait juste fallu qu'ils enlèvent le plafond. Et Adrian. Et là elle aurait pu profiter pleinement d'avoir l'impression d'être dans une des saga qu'elle affectionnait. Elle remit sa tête droite et commença à avancer.


Spoiler:
Eleonore P. Whitby
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Adrian S. Williams
Elève
Adrian S. Williams
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Elève
Sam 12 Sep - 18:36
Adrian observait silencieusement autour de lui, il n'y avait vraiment plus rien, les murs étaient lisses et donc impossible à escalader. De plus, il y avait un plafond, donc impossible de s'enfuir vers le haut. Donc, il ne restait plus qu'une solution, avancer tout droit. Dommage qu'il n'y ait plus les rails, les deux adolescents auraient pu se guider grâce à eux. Franchement, s'il croisait le petit con qui s'était amusé à les faire chier, Adrian ne donnait pas cher de sa peau. Il ne semblait pas être seul à avoir des envies de meurtres. Le visage d'Eléonore trahissait ses pensées, il n'était pas donc pas difficile de savoir qu'elle était en colère, même furieuse. N'empêche, Adrian préférait quand cette expression était dirigée vers lui, il savait alors qu'il venait de gagner un point contre elle. L'adolescent soupira et regarda autour de lui. On ne voyait pas grand chose, enfin, il n'y avait pas grand chose à voir non plus. C'était extrêmement vide et silencieux.

Ce silence et ce vide faisaient rappeler de douloureux souvenirs à Adrian. C'était tout comme quand son grand frère était hospitalisé, la chambre avait le strict minimum et la plupart du temps, son frère dormait, shooté par les médicaments ou alors la chimio. Bien sûr, d'autres souvenirs assaillirent les pensées d'Adrian, son frère craquant plusieurs fois, lui, dans l'incapacité totale de le réconforter. Puis ensuite, le retour de Mathieu à la maison et la fin de ses traitements. Et puis maintenant, celui-ci vivait presque normalement, bien que les médicaments avaient gravement affecté son organisme. Maintenant, il était faible et fragile. Il prenait donc des cours par correspondance pour le moment, cours qui lui permettaient de se reposer s'il en avait besoin. Adrian se sentait mieux en le sachant enfin à la maison, là où son grand frère se sentait bien. Le jeune pensionnaire savait que son père cherchait maintenant à l'éloigner de lui et ça lui faisait beaucoup de mal. Il avait l'impression que son père cherchait à l'achever. Etait-il si mauvais comme adolescent? Est ce qu'il mérite de se faire traiter comme un moins-que-rien partout où il va ?

Au moins... Maintenant, son frère allait mieux bien qu'il était toujours aussi sensible. Adrian se souvenait parfaitement du jour où son père l'avait véritablement battu, ce jour-là, il avait littéralement craqué. Il n'arrêtait alors pas de pleurer dans les bras de son frère, racontant alors absolument tout. Quand il fut, enfin, calmé, il vit ce jour-là et les jours suivant le désespoir dans les yeux de son frère, il avait l'impression qu'il se rendait malade à cause de ce qu'il s'était passé pour son frère, il semblait encore plus mal qu'Adrian lui-même. Mathieu était beaucoup trop protecteur envers Adrian, il avait donc alors eut la désillusion, il n'avait jamais pu le protéger comme un grand frère aurait dû le faire selon lui.

Adrian continua de marcher en silence, ne faisait pas attention à la remarque, plutôt imagée, de sa chère ennemie. Il était dans ses pensées, l'adolescent prit sans hésitation ni en se concertant avec sa partenaire le chemin de gauche lors d'un croisement. Il savait qu'ils n'auraient jamais été d'accord alors autant s'affirmer. De toute façon, elle allait devoir le suivre, ça ferait moins de chance de se perdre dans ce foutu labyrinthe. Il se fichait bien de savoir si ce chemin était le bon, il finiront bien par sortir un jour ou l'autre et faire payer à ce connard qui a osé jouer ce tour stupide. Adrian soupira, il commençait véritablement à s'ennuyer. Il se tourna vers Eléonore, sa pire ennemie depuis la primaire, une ennemie de qualité à cette époque. L'était-elle toujours ? Il espérait que oui, car c'était tout de même lui qui l'avait façonné, à toujours l'insulter pour qu'elle finisse par réagir. Il était fier d'avoir réussit à faire chier cette fille à papa, d'avoir réussit à la faire mal tourner. Adrian prit la parole d'une voix froide, continuant de marcher, finissant par se demander si prendre le chemin de gauche était la bonne solution.

«Alors ? Miss Whitby a été envoyé par ses chers parents en pensionnat? Elle est donc enfin séparée de ces trois pots-de-colles. »

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Adrian S. Williams
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Le dé!
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Sam 12 Sep - 18:36
Le membre 'Adrian S. Williams' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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Eleonore P. Whitby
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Elève
Jeu 17 Sep - 16:48

Eleonore allait le frapper. Sans déconner. Elle allait démonter la face de ce petit prétentieux de manière à ce que sa chère mère (qui devait vraiment être une espèce d'accro au cocktail LSD/cocaïne pour avoir enfanter un imbécile détraqué du bulbe pareil) ne puisse plus le reconnaître lorsqu'il rentrait chez lui. Dans un carton. Parce qu'il serait découpé en petits morceaux aussi petits que des kubors. Inconsciemment, Adrian venait de franchir une limite sacrée pour Eleonore et ce, pour quatre raisons. De un, la brune ne supportait pas qu'on insulte ses amis. De deux, depuis que Lucy était morte, elle ne pouvait accepter qu'on l'évoque en tels termes devant elle. Qu'on l’évoque tout court d'ailleurs. De trois, la déchéance de laquelle elle peinait encore à se sortir sans retomber et où Maxime et Elliot étaient encore plongés n'avait absolument rien de risible. De quatre, cet imbécile avait ouvert la bouche. Conséquence : Elle allait lui péter la gueule (et les burnes) modèle géant et juste avec ses poings. Et ses Docs Martens. Elle savait que le renforcement en fer qu'elle avait demandé à un de ses pote d'installer serait utile.

La voix de Lucy, qui lui arrivait parfois d'entendre, remontante de ses souvenirs, retentit dans sa tête. Lucy et ses recommandations. Lucy et ses idées de conneries. Lucy et sa passion pour la science-fiction. D'ailleurs, Eleonore était sûre que la rousse aurait été terriblement contente et heureuse qu'un film de son genre favori sorte avec son prénom comme titre. Elle aurait sûrement beaucoup moins aimé l'immense succès qu'il avait rencontré, elle qui détestait les blockbusters américains. L'image de celle qui était sa meilleure amie et de sa recommandation favorite lorsqu'ils étaient tout les quatre dans la même classe qu'Adrian revient dans sa tête. "L'écoute pas Ele. De un, c'est un crétin qui ne mérite pas ton attention, de deux, il fait ça uniquement pour que tu t'énerves. Réagis pas, c'est ça qui va le faire rager." Eleonore dut retenir un sourire. La petite rousse avait toujours eu le don de la calmer rapidement ainsi que de très bien cerner les gens. C'était grâce à l'alliance de ces deux capacités, que cette recommandation était apparue bien vite, après que les quatre enfants qu'ils étaient ai rencontrés Adrian. Alors, en mémoire de sa meilleure amie (et surtout pour voir si le visage du blond prenait toujours cette teinte rouge si intéressante lorsqu'il était contrarié), Eleonore ne répondit pas, ignorant totalement le blond, un léger sourire moqueur en lèvres, en prévision de ce qui allait suivre et qui, elle en était sûre, serait sûrement très intéressant... Après cinq ans de séparation, la normalité revenait au bercail. Et ça faisait un bien fou, malgré que ladite normalité soit essentiellement composée de choses comme, se foutre sur la gueule, se balancer des insultes et s'allier contre les connards d'adultes (et surtout de profs.). D'ailleurs, si Adrian voulait également faire comprendre sa manière de penser à celui qui les avaient enfermés là-dedans, la brune le laisserait faire. A condition qu'elle puisse "discuter" un peu avant avec la personne sus-nommée.
Eleonore P. Whitby
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Adrian S. Williams
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Adrian S. Williams
Adrian S. Williams
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Elève
Dim 18 Oct - 11:55
Adrian savait pertinemment qu'il jouait avec le feu, il savait bien qu'Eleonore détestait lorsqu'il parle de ses trois amis. Ça se comprend, Adrian n'ouvre la bouche que pour les insulter, elle et ses amis, les dénigrer, il voulait les voir perdre leur calme, péter un plomb. Quand il était petit, il suffisait qu'il sorte une simple insulte à l'encontre des trois autres pour que sa chère ennemie sorte de ses gonds. Et lors de leur départ, Adrian avait redoublé d'insultes ce jour-là, mais la maîtresse n'avait pas tenu la journée, Adrian fut renvoyé chez lui dans l'après-midi. Et je peux vous dire que ce n'était pas la fête à la maison, le paternel était loin d'être content de se faire déranger en plein travail pour le gamin. Et oui, Adrian n'était pas proche de son père, celui-ci n'aimait pas sa façon d'être, il n'essayait même pas de l'aider, de lui parler. Adrian a donc rapidement conclu qu'entre lui et son père, ça sera toujours aussi électrique. Mais il y avait eut des moments pires entre les deux, surtout l'un d'eux dont Adrian n'oublierait jamais.Dans sa famille, seul son frère est capable de le calmer, de le dissuader parfois même de faire des conneries. Mais Adrian allait exploser maintenant dans ce stupide pensionnat. Sans son frère pour le calmer un minimum, Adrian pouvait se montrer comme une vrai bombe à retardement.

Eleonore ne semblait pas avoir réagit à sa remarque, Adrian était un peu contrarié mais il se laissait encore un peu de temps pour se remettre dans le rythme avec elle. Il savait maintenant quelle serait sa prochaine remarque, elle ne serait pas à un pallier haut de provocation. Serait ce assez pour faire réagir Eleonore? Ou Adrian aura encore loupé son coup? Adrian fit un petit sourire en coin et continua de marcher, il préférait laisser d'abord un petit blanc pour ensuite mieux attaquer. Il continuait de marcher tout en regardant le plafond, maudissant intérieurement le petit imbécile pour être poli qui avait osé les enfermer là-dedans. L'adolescent poussa un soupir las, il continuait d'avancer dans cet endroit lugubre et d'une lourde ambiance. Dieu, que c'était amusant. Youpi. Adrian passa sa main dans ses cheveux, ennuyé par la situation. Ca aurait pu être drôle mais là avec Eleonore et une ambiance pourrie, Adrian allait mourir d'ennui. Adrian sortit son portable, voulant joindre quelqu'un pour les sortir de là. Tiens, comme par hasard, pas de réseau. Un soupir ennuyé passa la barrière de ses lèvres. Il ne put se retenir d'espérer qu'au pensionnat, il y aurait du réseau. Adrian rangea l'objet et continua de marcher, encore et toujours. Il finit par sortir à voix haute pour enfin sortir sa deuxième provocation.

"Ou peut-être alors que tes amis étaient si ennuyants et primitifs que tu les as laissé tombés? Ou alors, ce sont eux peut-être eux?"
Adrian S. Williams
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