Une heure de colle (ft. Calliopée Poulain)

Calliopée ne voualit pas aller en colle, bien sur, elle n'aimait pas faire ce qu'on lui demandait, tout ça car elle avit dormit avec Persé, elle avait envie de crier et de frapper tout ceux qu'elle croisait, pourtant ses pas la menaient tout doucement vers la salle où elle a être consigné, math, nan mais quel idée, une heure coincé avec le prof de math, en même temps elle ne pouvait pas trop se plaindre, elle ne savait même pas qu'elle tête il avait ce prof, elle s'en moquait, elle ne comptait pas montrer de remord, puisqu'elle n'en avait aucun, les maths ? Elle n'aimait pas ça et la moitié des trucs qu'elle voyait ne lui servait pas, elle soupira en trouvant la porte devant elle. Un instant elle hésita, elle avait envie de partir en courant, il était peut être encore temps, elle avait envie de voir Perséphone. Elle soupira, il était trop tard la porte s'ouvrit.

Elle regarda la tête du prof, ses petits yeux lançait des éclairs, un tas de petit éclair qui emplissait la tête et les pensées de la Poulain. Elle soupira avant de frisonner doucement, elle avait envie de le tuer, lui  car il était face à elle mais tout les adultes présent ici, ils étaient tous de mèches, aucun ne valait la peine qu'on s'y intéresse,, ici comme ailleurs personne ne comprenait les jumelles, personne ne les comprendrait jamais, alors oui elle avait envie de lui sauter dessus, de le mordre, de le gifler. Elle se retint, elle serra ses poings et elle rentra doucement dans la salle. Elle souffla cependant quand il lui donna un ordre, elle ne voulait pas plier, aussi resta t'elle debout, posant son sac sur le sol d'une façon bruyante. Elle croisa les bras, nan elle n'allait pas s'asseoir. Elle soupira doucement en l'écoutant de nouveau

Elle l'écouta, il lui demanda si elle avait un truc à faire, ou si il devait lui donner un truc à faire, puis il lui dit de sortir ses affaires. Aucun mouvement de la part de la jeune fille, enfin pas dans le sens de la prof en tout cas. Elle finit par bouger, allant vers le fond de la salle, regardant tout ce qu'il y avait dans les armoires, cherchant une prochaine bêtise à faire.  Elle se mit à parler d'une voix plutôt forte, pour que le prof l'entende mais aussi pour l’embêter, tout simplement. Elle se retourna :
- « Nan mais vous croyez que je vais faire des maths ? Ou même des devoirs ? Je suis coincé là mais je ne ferait rien de plus, faut pas rêver ! »
Elle resta dans le fond de la pièce, bras toujours croisé, elle soupira, avant de partir dans ses pensés. Elle attendait la réponse, sans illusion.

Calli observait chaque élément présent sur l'étagère, il y avait un tas de truc pour foutre la pagaille dans cet endroit et sa main s'attarda vers le flacon d'encre noir, elle soupira, sa main resta en suspend au dessus du flacon, son sourire s'agrandit et elle le prit doucement dans ses mains. Elle soupira en entendant le prof, aller donne moi des ordres, tu croit quoi toi, que je vais obéir, songea la petite. Elle écouta d'une oreille un peu distraite, il pensait vraiment que puisqu'il le voulait elle allait plier, elle n'avait que rarement fait ce qu'on lui avait demandé, même l'emmener ici avait été un miracle ou plutôt une guerre, il avait fallut leur courir après des heures durant pour finalement les entraîner de forces dans la voiture, Callie frissonna, elle ressentit les mains fortes qui lui avait broyé l'épaule. Elle soupira avant de reporter son attention sur le prof, qui continuais de s’énerver, même si il ne changeais pas de ton.

Elle écouta la menace, des heures de colles, pourquoi pas, si ça l'occupait, elle elle s'en moquait de toute façon elle était coincé ici alors collé ou non, elle s'en moquait. Elle haussa donc les épaules et resta immobile, sa main encore sur l'encre, elle resserras ses doigt tout doucement, il était temps de montrer le sentiment qui l'emplissait, la rage. Elle écouta et retint son rire, le rire poulain, elle ne voulait pas s'asseoir, oh nan, encore moins écrire des lignes, elle n'avait jamais compris pourquoi on la punissait ainsi, en quoi écrire allait la faire changer, elle n'allait pas s'hypnotiser en écrivant qu'il fallait être sage, ça ne faisait que continuer de l’énerver. Elle soupira encore et sa main alla se ranger discrètement dans son dos, avec l'encre.

Elle se rapprocha doucement de son bureau, et des feuilles qui était posé, elle soupira et quand il hurla ça ne fit que l’énerver, nan mais oh, elle était une enfant, pas un chien, pourquoi il lui parlait de la sorte, ça ne fit qu'augmenter son énervement, ça finit d'enclencher le processus connerie chez elle, si il voulait les ennuis il venait de gagner, elle n'aimait pas les adultes, encore moins quand il se prenaient pour des êtres supérieur. Alors Calliopée devint toute rouges puis elle hurla un grand :
- « NAN ! »
Ses mains se levèrent et le flacons d'encres qu'elle tenait dans les mains alla voler contre le tableau, éclaboussant toute la pièce. Callie explosa alors de rire, un rire satisfait, puis elle retourna vers le fond de la classe et monta sur une des tables avant de répéter :
- « NAN ! »
Elle soupira puis se laissa choir.

Elle souffla en s'acroupisant sur la table, il avait dit qu'il pourrait y passer des heures, jusqu'à la nuit mais elle s'en moquait, comme de toute façon elle ne dormait pas, puisqu'elle n'avait pas le droit de dormir avec sa sœur, car elle n'arrivait pas à dormir sans cauchemars donc elle pouvait finir sa vie ici sans soucis, on allait bien voir qui allait craquer en premier, elle lui fit d’ailleurs un grand sourire d'ange, elle savait qu'elle était mignonne quand elle le voulait.

Calliopée resta coincé en mode rebelle sur la table en guettant la réaction du prof, elle vit qu'il y en avait partout de l'encre et elle ne put s’empêcher de se demander ce que ça aurait donné si elle avait vraiment visé le prof, son bureau, sa tête peut être même, mais elle n'était pas si idiote et méchante, nan son excès de colère ne lui avait pas fait perdre la tête. Elle soupira en le voyant se lever, il n'avait pas l'air content, ce qui était normal, enfin d'après Calliopée, elle même n'aurait pas apprécié le coup de l'encre, ce n'était qu'une façon pour elle de montrer son mécontentement puisqu'on ne l'écoutais pas, elle expérimentais des solutions pour communiquer, ça marchait pas vraiment au vu de la tête du prof. Elle soupira de plus belle, et elle ne put s’empêcher de trembler, elle avait vu de tout dans les nombreuses familles d’accueil qu'elle avait eu, les coups en faisait parti, aussi ne supportais t'elle pas le rapprochements du prof. Elle le regarda.

Il lui attrapa la main, aussitôt un tas de frisson la parcoururent, elle gémit, tout doucement et ses yeux passèrent de la colère à la peur même si elle garda son air Callie, elle ne montrerait pas ses faiblesses, alors elle réprima les frissons, elle ne voulait pas qu'il gagne, aucun adulte ne pouvait gagner, elle ne voulait plus se laisser faire. Elle écouta ses paroles, le directeur, mais allez y de toute façon elle l'avait déjà vu cet homme la fillette et elle n'avait pas été impressionné, il lui avait dit qu'elle tournerait mal mais ce discours était tellement habituel, combien de fois l'avait elle entendu, elle pourrait elle même le réciter si on lui demandai, un interro sur les risques qu'elle encourait serait surement couronné de plus de succès qu'une interro de math. Elle le regarda encore et elle eut brusquement peur, face à ce regard.

Quand il la saisit pour la toucher elle se cambra, ses muscles se tétanisèrent et alors qu'il plaçait le livres sur ses mains elle hurla de nouveau, sauf que cette fois là ce n'était pas vraiment cette colère qui la prenait, elle hurla un grand:
- "Ne me toucher pas!"
Cependant de peur qu'il ne lâche pas, ou qu'il frappe, Lio mordit la première chose qui lui fut à sa porté, autrement dit la main du professeur, elle y planta ses dents avec toutes se forces puis elle jeta les livres avant de sauter de la table, elle se fit un petit peu mal mais elles'en moquait, elle vit la porte ouverte et fonça sans réfléchir, elle fuit et trouva refuge là où elle se dit qu'il ne viendrait pas, les toilettes des filles, elle soupira et se réfugia sous un lavabo, elle se roula en boule et là elle réussit enfin à pleurer, elle venait de revoir certaine scène qu'elle avait enfouie loin dans ses souvenirs.

Calliopée avait entendu la voix du prof, lui hurler de revenir, il lui avait fait peur, tellement, ça lui avait rappeler un tas de mauvais souvenir. Elle soupira et ferma les yeux, sous son évier, elle se demanda si il allait la retrouver et si dans ce cas là il allait rentrer dans les toilettes, c'était ceux des filles mais sait on jamais. Elle soupira, essaya de chasser de sa tête tout ce qui se mélangeait dans sa tête, elle avait tout fait pour ne plus y penser aussi ferma t'elle encore un peu pus fort les yeux. Elle frissonnait et ses muscles étaient tendus et sa mâchoire était crispé. Elle soupira et se mordit la lèvre, essayant de se changer les idées, elle ne voulait pas repenser à ça mais encore pire c'est qu'elle ne voulait pas que cet home voit ses faiblesses. Elle soupira, resta en boule, elle voulait sa sœur ici et maintenant, elle voulait aussi ses parents, elle voulait que son père la protège et que sa mère la prenne dans ses bras, elle voulait aussi que cet accident n'ai jamais eu lieu, ou alors qu'elle y es perdu elle aussi la vie, mais ce n'est pas ce qui c'était passé. 

Elle frissonna en entendant qu'on frappait à la porte, elle soupira doucement, elle n'était pas un pro pour apprendre à se cacher mais elle ne jouait pas vraiment à cache cache là. Elle écouta les bruits du poing contre la porte puis la voix, oh oui, plus la même voix que tout à l'heure, cette voix là était calme et posé mais Lio était loin d'être idiote, on pouvait tellement facilement cacher ses intentions en modulant tout doucement sa voix, elle soupira avant d'écouter, elle ne veut pas se laisser amadouer. Elle écoute ces mots, nan elle ne veut pas sortir, elle trouve que cette proposition fait piège mais tellement, c'est un peu le coup du loup qui se déguise en agneau pour mieux vous manger ensuite mais elle sait que de toute façon elle a perdue cette bataille, comme toujours, les adultes on tous les droits alors elle ne doute pas que cet homme pousse la porte pour venir l'attraper et lui faire du mal, c'est ce qu'elle voit dans sa tête alors elle se lève tout doucement et vas se regarder dans le miroir suspendu au dessus de l'évier.

Les petits doigts de la fillette vont serrer l'émail du lavabo, fort, très fort même, ses petits jointures deviennent toutes blanches. Elle soupire et se regarde dans le miroir, elle voit ses yeux rouges, elle se sent idiotes. Elle prend alors une grande inspiration, elle entend la voix une fois encore qui lu dit que si elle sort elle ne verra pas le directeur, là encore elle doute, elle soupire. Elle regarde encore sa tête, elle ouvre l'eau et se passe le visage sous l'eau. Elle souffle avant de couper l'eau. Elle frisonne encore avant de se précipiter vers la porte, elle soupira et se plaqua à la porte, pour écouter les bruits dans le couloirs, elle soupira, hésita, elle finit par prendre un moment pour se calmer puis elle poussa la porte, tout doucement elle mit sa main sur la poignée et elle soupira avant de la pousser, elle sortit tout doucement de la pièce et regarda l'adulte, tremblante, elle lui murmura :
- « Je sais que vous mentez. »
Elle soupira tout doucement avant de fixer son regard dans celui de l'adulte, elle en avait peur mais elle essayait de ne pas le montrer, même si au fond ça ne devait pas être très convaincant.