Présentation d'Angie [Terminée]

Présentation

Prèz' d’Angie Mon perso : Nom : McDermott Prénom : Angie Âge : 14 ans Ville D'origine : Saint Étienne Sexe : Féminin Classe/Métier : 3ème Option choisie : Théâtre Signe particulier : Très mature pour son âge Orientaton Sexuelle : Hétérosexuelle Moi, derrière l'écran : Ton nom ou surnom (si tu veux) : Johannie Ton âge (si tu veux) ? 20 ans Comment es-tu arrivé sur le forum ? Deborah m’a parlé du forum Qu'est-ce que tu en penses ? Simple et accueillant ^^ Tu es un double compte ? Nop ! Le code du règlement ? : Star de l'avatar ? Peyton List Présence sur 7 jours? 2 à 7 jours par semaines. 2 en semaine hors vacances et 7 la plupart du temps. xD Je passe trèèèès souvent. Le physique de mon perso : Angie est une adolescente de 14 ans, elle à de longs cheveux lisses, blonds. Ses yeux son vif et de couleur brun, elle à un nez camus, un front étroit et droit ainsi qu’une bouche fine et souriante. Son visage est lisse et ovale. Sa peau à un teint légèrement rosé et elle mesure environ 1m68. Elle est assez mince et droite, abordant facilement un air heureux et est souriante la plupart du temps sans pour autant oublier d’être sérieuse quand il le faut. Elle à une démarche souple et dynamique. Elle aime porter des vêtements où elle se sent à l’aise, mais faisant quand même attention à son look. Après tout... Elle à 14 ans, quand même ! Elle doit faire attention.

Mon caractère :

Angie est une adolescente gentille, mais rancunière, elle n’oublie pas facilement ce qu’on lui fait à elle ou à ses proches. C’est une jeune fille minutieuse et qui n’a pas peur de s’appliquer dans tout ce qu’elle entreprend. Angie est aussi quelqu’un de travailleur et de brillant, ce qui complète assez bien ces autres traits de caractère ! Elle sait ce qu’elle veut et est une jeune fille très mature pour son âge depuis que ses parents se sont séparés, faisant de son mieux pour aider son père.


Seulement... Cette jeune fille est du genre boudeuse et n’hésite pas à faire entendre lorsqu’une situation ne lui plaît pas, pouvant même être assez rabat-joie dans certaines situations, mais ayant la salle habitude de suivre les autres (même dans les plans les plus foireux que l’on puisse imaginer...) La jeune fille met aussi un point d’honneur sur le fait qu’elle ne veut avoir aucun traitement de faveur ! Après tout, elle a beau être la fille du directeur, il n’en est pas moins humain. Et elle, elle n’en reste pas moins une simple élève à qui on doit encore apprendre des choses !

Mon histoire :

Angie est née le 12 juin 2000, à Saint Étienne. Tout ce passait bien, il y avait un grand soleil, ce jour-là. Ils étaient en été et tout laissait présager que rien n’irait jamais mal, du moins, pas pour l’enfant à naître. Le bébé gigotait dans le ventre de sa mère, signalant ainsi son mécontentement d’être aussi à l’étroit depuis aussi longtemps... Elle ne savait pas où elle était, ne savait pas ce qu’on lui voulait non plus. Elle se sentait bien, dans son petit cocon au milieu d’un liquide chaud et humide. Elle aimait bien, mais commençait à se sentir à l’étroit depuis quelque temps (jour, mais elle ne pouvait pas vraiment le savoir ! Après tout, la notion du temps est... Disons vraiment difficile.). Elle commençait à bouger de plus en plus, à signaler sa présence aux voix qu’elle entendait parfois.

Puis au bout d’un moment, elle sentit une pression se faire, pression qui était de plus en plus forte et qui avait le mérite de la faire bouger davantage alors qu’elle poussait aussi, voulant sortir de cette membrane qui l’enveloppait depuis maintenant 9 mois. Qu’avait-elle fait ? La pression se faisait constante et était de plus en plus forte, de plus en plus insistante jusqu’au moment où elle sentit qu’on la touchait. Elle fermait presque automatiquement ses petits yeux gris de nourrisson dès qu’elle sortit, tête la première de son cocon bien chaud. Elle distinguait des mains bleues, qui la maintenait la faisant sortir rapidement. Pourquoi ce n’était pas de la même couleur que le reste ? Elle ne comprenait pas, elle ne comprenait rien. Elle se limite à comprendre qu’on ne voulait plus d’elle ici, dans cet environnement qui la rassurait pourtant, et se mit à fermer les yeux face au monde-tout-blanc qui l’entourait. Très lumineux, elle n’arrivait pas à garder les yeux ouverts. Pourquoi n’y arrivait-elle pas ? Pourquoi ça faisait mal ? Et pourquoi est-ce qu’elle avait mal lorsqu’elle essayait d’ouvrir la bouche ? Pourquoi sentait-elle que ça brûlait ?

L’oxygène rentrait dans ses poumons, et elle pleurait de toutes ses forces tant cela faisait mal, même si elle n’arrivait à rien comprendre. Tout ce qu’elle comprenait, c’était qu’elle était dans un endroit très lumineux, avec beaucoup de rouge et beaucoup de douleur, aussi. Ça lui faisait mal et elle préférait garder les yeux, continuant à hurler à la mort alors qu’elle venait de naître. Les nouveau-nés pleurent parce qu’en sortant du ventre de leur mère, c’est à ce moment-là qu’ils comprennent à quel point la vie va être difficile, à quel point c’est douloureux. Douloureux de sentir ses poumons brûler alors qu’ils se gonflent n’ayant jamais reçu d’oxygène depuis leur développement. Douloureux, parce que la lumière était forte et faisait mal aux yeux. Douloureux aussi parce que la vie l’est, tout simplement. Notre vie est faite de joies, comme de malheurs, mais sans ça, que serait la vie ?

Les 12 années qui suivirent, Angie apprit à marcher, à parler et à découvrir le monde qui l’entourait désormais. Elle grandissait et s’épanouissait avec son père qui l’élevait et lui apprenait la vie pendant que sa mère était absente, ayant un poste d’ambassadrice. Son père était professeur d’Histoire, à l’université. Et la jeune Angie ne cessait de rêver du moment où elle y serait. Elle serait très grande, à ce moment-là ! Elle aurait des vêtements de princesses et rencontrerait son prince charmant. Elle avait des rêves d’enfants, des espoirs que toutes les petites filles ont un jour eût. Elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi elle n’était jamais là et souffrait de cette absence. Tout le monde à besoin de ses deux parents... Elle pleurait lorsque sa mère revenait et pleurait lorsqu’elle repartait aussi, jusqu’au jour où elle grandit.

Elle avait compris que son père était seul et elle ne voulait pas être un poids trop lourd à porter. Elle fit donc de son mieux pour l’aider. Puis un jour vint où, sa mère, déjà peu présente et son père divorcèrent. Sa maturité précoce l’aida à comprendre. Ils s’étaient séparés, et ça finit de la rendre plus mature que les enfants de son âge. Son père l’élevait et continuait son éducation, tandis qu’elle continuait de faire de son mieux pour l’aider travaillant correctement à l’école, devenant ainsi une bonne élève. Elle voulait passer à plusieurs reprises une classe pour apprendre plus et pour grandir ainsi plus vite. Mais son père refusait toujours et demandait à ce qu’on la laisse suivre un cursus scolaire normal. Elle passait ainsi ses primaires avec un cursus normal, à la demande de son père. S’en suivit le Collège où elle excellait dans ses résultats continuant d’aspirer à sauter une classe, bien que son père refusait toujours. Ses résultats restaient toujours excellents, et elle ne cessait de progresser, d’apprendre et de grandir. Angie ne se plaignait pas, elle savait que si son père refusait c’était pour une bonne raison et acceptait donc de bonne grâce de continuer normalement sa scolarité. Elle grandissait et aidait de son mieux son père lorsqu’il rentrait du travail, exténué. Elle savait qu’il travaillait dur et le comprenait. Elle devait donc faire de son mieux pour lui faciliter la tâche une fois rentré à la maison. Elle souriait et restait une jeune fille avec une joie de vivre apparente en toute circonstance.

Et un jour, alors qu’elle était encore en 4ème et qu’elle aidait son père, ce dernier reçut un appel. Angie n’écouta pas ce qui se disait, mais son père et elle firent plusieurs rencontres avec le Ministre de l’Éducation, apprit-elle par après, et sa famille. Et ce fut lors de ses rencontres qu’elle apprit à connaître Deborah Dumont, la fille du Ministre ayant le même âge qu’elle. Très rapidement elle apprit à l’apprécier et à l’aimer comme une amie. Elle la trouvait sympathique et commençait à se rapprocher d’elle au fur et à mesure, appréciant la compagnie de Deborah, bien qu’elles aient des caractères complètement différents et elles devinrent rapidement meilleures amies.

Quelque temps plus tard, alors lorsque son père fut muté au Pensionnat, elle le suivit et son père l’y inscrivit, et, bien qu’il ne l’ait pas consultée avant et donc ne lui ait pas demandé son avis à ce propos, l’adolescente n’est pas du tout dérangée par le fait que son père l’ait inscrite au pensionnat. Après tout, il en était le directeur, alors... C’était logique qu’il veuille qu’elle soit près de lui, d’autant plus qu’il seul pour l’éduqué. Alors, même si ça l’avait dérangée et même si elle est du genre boudeuse, elle aurait compris et ne se serait probablement pas plainte pour ce point. En plus, elle est dans la même classe que Deborah au Pensionnat ! Donc... Où est le problème ? Elle ne voit aucun problème là-dedans. Il y avait juste un risque de traitement de faveur, vu qu’elle est la fille du directeur, mais elle, tout ce qu’elle veut c’est être considéré comme les autres. Pas de traitement de faveur voulu ! Elle voulait qu’on la juge et la cote pour ce qu’elle valait vraiment, et pas pour son lien de parenté avec le directeur.